N’ayant pas pu manifester en cette Journée Mondiale des Réfugiés, je souhaite apporter ma petite pierre pour témoigner de la violence non visible, sournoise et banalisée dans les Centres de Rétention Administrative. Les violences policières ne sont pas seulement constituées de coups et de blessures. Elles s’insinuent dans des mots, dans des détails du quotidien, dans des actes répétitifs et volontairement réitérés. La suite sur : Violences policières, un quotidien banal dans les Centres de Rétention Administrative.
Si vous avez des idées sur le sujet et sur comment faire vivre cet engagement dans le coin, n’hésitez pas !